vendredi 26 février 2010

La Demoiselle de Reignac: une oeuvre d'art paléolithique? - Nature - Citizenside.com

Photos - La Demoiselle de Reignac: une oeuvre d'art paléolithique? - Nature - Citizenside.com
Étrange, cette pierre, non ? Un trougnou de demoiselle de Néanderthal tel que les reconstitutions les plus avancées actuellement nous l'ont révélé ! Mais ça semble tellement incroyable que la science officielle n'arrive pas encore à digérer ça... Il y a ainsi nombre de silex taillés nommés "pierres figures", dans lesquels d'aucuns voient des prémices de sculptures plus ou moins réalistes et réussies, abouties, aussi, et où d'autres ne voient que gâchis d'apprentis tailleurs peu doués... Étrange et fascinant, en tout cas ! Même sous l'action du gel et de l'érosion, une pierre ne peut pas acquérir une telle allure toute seule, comme ça, par l'opération du Saint-Esprit, en quelque sorte... Ça semble bien avoir été retouché, pour obtenir ce drôle de petit profil, quoi qu'on en dise !
 Photo extraite de l'article vers lequel je renvoie.

Le chat qui se prend pour un masseur de hammam !

C'est Mimi qui m'a retwitté ça... Trop adorable et marrant !

lundi 22 février 2010

Vous qui portez la Burqa volontairement.

Vous qui portez la Burqa volontairement.
Merci à Madame Badinter, relayée par Internaaze. Comme jadis elle avait brûlé les soutien-gorges, brûlons les voiles avilissants et abrutissants  !

Le Hamas organise des mariages pédophiles.

Le Hamas organise des mariages pédophiles.
Ben c'est du propre ! La religion est l'opium du peuple et la justification des pires crimes, dirait-on  !  Merci Internaaze de dénoncer ça  !

dimanche 14 février 2010

Un Québécois et Néanderthal

Article de l’Université de Québec, visible ici et sur le blog d’Internaaze.

RÉSEAU Mars 1999 / Magazine de l'Université du Québec
Reproduction autorisée avec la mention de l'auteur et de la source.

À LA RECHERCHE DE

NEANDERTAL

Sol anthropique H-1
Les fouilleurs dégagent le sol anthropique H-1 vieux de 200 000 ans.

Qui est l'homme de Neandertal? La perception que nous en avons pourrait bien s'avérer, d'ici peu de temps, totalement injuste et caricaturale. Un archéologue de l'UQAM, grâce à ses découvertes, est en train de nous dévoiler une toute nouvelle image de notre lointain cousin.

Par Gilles Drouin

L'homme de Neandertal était-il vraiment cet être un peu taré, incapable de maîtriser le feu et tout juste bon à fabriquer gauchement des outils de pierre ? Était-il ce chasseur compensant par la force brute ses faibles qualités de stratège et qui errait à la recherche de proies vulnérables pour assurer sa subsistance ? Était-il cet être humain dont l'intelligence très limitée lui interdisait toute organisation sociale, toute expression artistique et toute innovation technologique, le condamnant ainsi à disparaître, il y a environ 36 000 ans, devant la poussée de l'homme moderne ?

Serge LebelS'il n'en tient qu'à l'archéologue Serge Lebel, de l'Université du Québec à Montréal, il semble qu'il faudra bientôt réviser en bonne partie ce jugement sévère et cette vision caricaturale de ce lointain cousin de l'homme moderne. Depuis une dizaine d'années, l'archéologue québécois dirige en effet une équipe internationale qui effectue des fouilles dans le vaste abri sous roche du Bau de l'Aubésier, situé en Haute-Provence, dans le Sud-Est de la France. "Nous y avons découvert un site d'une richesse archéologique incomparable sur les Néandertaliens, un site unique au monde, qui nous a livré jusqu'ici plus de 250 000 pièces archéologiques", lance le chercheur, avec enthousiasme.

Le site du Bau de l'Aubésier a jusqu'ici révélé sept niveaux d'occupation humaine successive comprise entre au moins 200 000 ans et 40 000 ans avant aujourd'hui. Cette séquence chronologique englobe toute la période connue de l'occupation de l'Europe par les Néandertaliens (Homo sapiens neanderthalensis), incluant, au départ, la transition avec les hommes archaïques (Homo erectus) et, dans sa partie plus récente, celle avec l'homme moderne (Homo sapiens sapiens). En fait, la mise à jour des vestiges du Bau de l'Aubésier ouvre une grande fenêtre par laquelle Serge Lebel pourrait bien s'envoler vers le temple de la renommée de la paléoanthropologie !

Mais, comme tout archéologue sérieux, Serge Lebel contient son enthousiasme (parfois difficilement !) et reste prudent. "Il faudra d'abord dater le plus précisément possible les niveaux d'occupation humaine que nous avons dégagés et ensuite comparer les données avec d'autres sites de Néandertaliens en Europe et au Proche-Orient. Le Bau de l'Aubésier ne permettra sûrement pas de répondre à toutes les questions que l'on se pose sur les hommes de Néandertal, mais il permettra sans doute de préciser davantage les hypothèses de travail et les théories qui guident les archéologues dans leurs fouilles."

Un Néandertalien pas si bête !

Pour les néophytes, outils de pierre, os taillés et vestiges de feu peuvent sembler babioles et anecdotes sans grande envergure. Mais, pour les paléoanthropologues, il s'agit de précieux indices qui permettent de mieux comprendre l'évolution de l'Homme. Même en demeurant prudent et rigoureux, l'archéologue peut se permettre d'annoncer les couleurs d'une remise en question importante de notre connaissance des Néandertaliens.

"Nous avons trouvé des emplacements de foyer qui laissent croire que les Néandertaliens maîtrisaient bien le feu, précise Serge Lebel. Les outils de pierre exhumés sont aussi visiblement le fruit d'une technique de taille relativement avancée, qui se caractérise par le souci d'utiliser le matériau de façon optimale. Nous avons même découvert des ossements d'animaux qui portent des marques de façonnage, alors que l'on croyait que les Néandertaliens ne travaillaient que la pierre. D'après les vestiges animaux, nous pouvons également avancer l'hypothèse que Néandertal s'attaquait à des mammifères tels que l'aurochs, le cheval et le rhinocéros des prairies. Il devait être un chasseur habile et organisé. D'ailleurs, dans ses niveaux d'occupation les plus anciens, le site est empreint d'un sens avancé de l'organisation de l'espace. Autant d'indices que l'homme de Néandertal était plus évolué techniquement et socialement qu'on le croyait."

Abri sous roche du Bau de l'Aubésier

L'abri sous roche du Bau de l'Aubésier (Vaucluse, France) a été fréquenté à plusieurs reprises par les Néandertaliens. L'âge des plus anciennes occupations humaines remonte à plus de 60 000 ans.

Trapu (environ 1,65 m), l'homme de Néandertal était doté d'une ossature robuste et d'une musculature puissante. Actuellement, les paléoanthropologues le classent dans une sous-espèce, qui aurait évolué parallèlement à la nôtre. Malgré son apparence rustre, les Néandertaliens ont tout de même été les premiers dans l'histoire de l'humanité à inhumer leurs morts. "Le fait sépulcral est l'expression d'une pensée réfléchie, souligne Serge Lebel. Il s'accompagne de gestes dont la signification complète échappe pour le moment aux préhistoriens."

Il faut comprendre que, jusqu'ici, les vestiges exhumés dans plusieurs sites laissaient croire que l'homme de Néandertal et l'homme moderne vivaient dans des mondes très différents. "Généralement, explique Serge Lebel, les sites néandertaliens sont relativement pauvres en vestiges. Par exemple, on n'y trouve que de petits foyers posés sur le sol, qui supposent que les Néandertaliens utilisaient le feu de façon restreinte et qu'ils organisaient relativement leur espace et leur habitat. Bref, les vestiges abandonnés par les Néandertaliens sont un peu déroutants pour les archéologues." La richesse du Bau de l'Aubésier est donc comme une manne tombée du ciel. Ou plutôt une petite mine d'or qui a exigé des efforts particuliers aux fouilleurs...

Percer les préjugés avant la muraille...

"Lorsque j'ai commencé à travailler dans la Haute-Provence, raconte Serge Lebel, je m'intéressais à la période de transition entre l'homme de Néandertal et l'homme moderne, soit entre 40 000 et 35 000 ans avant aujourd'hui. Je connaissais le potentiel en grottes et en abris sous roche de cette région relativement peu étudiée par les préhistoriens français. Je savais aussi que des fouilles sommaires, effectuées au Bau de l'Aubésier entre 1901 et 1904, suggéraient que la partie supérieure du site datait de cette période. C'est à partir de ces éléments et de quelques autres que j'ai fait une première demande de subvention au Conseil de recherches en sciences humaines du Canada."

Travail au laboratoire

Le travail au laboratoire ; marquage des pièces archéologiques.

Mais la chose n'allait pas de soi dans le vieux continent. Quoi ! Un Québécois prenant la direction d'un projet de fouilles archéologiques en France ? Serge Lebel a donc dû jouer un peu du coude et demander une intervention diplomatique pour obtenir la direction du projet qui nécessite aujourd'hui la collaboration de 15 chercheurs du Canada, des États-Unis, de l'Allemagne et de la France. "Il faut dire aussi que j'avais l'appui de plusieurs chercheurs français qui me connaissaient bien, puisque j'ai aussi étudié en France, en plus de travailler dans plusieurs chantiers de fouilles sur le continent."

L'archéologue québécois n'était pas au bout de ses peines. Il lui fallait percer la muraille du Bau de l'Aubésier. Cet abri sous roche est en effet difficile d'accès pour les archéologues qui doivent trimbaler un équipement relativement lourd. Accroché à une paroi, l'abri surplombe une gorge assez profonde. Tout le matériel doit être descendu avec des treuils. Mais ce n'est pas tout ! Le site est aussi couvert d'une carapace de brèche, un conglomérat de débris rocheux provenant de l'érosion de la paroi, liés par une sorte de ciment naturel. L'amalgame est aussi dur que du béton ! Les archéologues troquent alors le petit balai caractéristique des fouilles archéologiques pour le marteau piqueur pneumatique et les explosifs ! "Nous utilisons un explosif non-percutant, de fabrication japonaise, qui exerce une pression horizontale sans comprimer les couches inférieures", explique Serge Lebel. Pour le travail de précision, les outils du dentiste conviennent très bien !

Toutefois, la brèche n'a pas que des inconvénients. En fait, par un heureux hasard, elle a enclavé les niveaux d'occupation en exerçant une pression sur les parois de l'abri sous roche plutôt que sur les couches inférieures. Elle est donc responsable de la conservation exceptionnelle des couches archéologiques. "Mais elle aurait aussi pu interdire toute fouille sur le site, remarque Serge Lebel. Au départ, c'était un grand pari." Ayant remporté son pari, Serge Lebel a décroché par la suite des subventions totalisant 430 000 $ du CRSH, dont 120 000 $ pour la période 1998-2001. À cette somme s'ajoutent les contributions de plusieurs organismes tels que le ministère de la Culture et de la Communication de France, le Conseil Général de Vaucluse, l'UQAM, l'Office franco-québécois pour la jeunesse, les Caisses d'épargne du Sud-Est de la France, etc.

Maître du feu ?

À la fin du premier été de fouilles exploratoires, en 1978, Serge Lebel a découvert dans les couches inférieures du site, c'est-à-dire les plus anciennes, des restes de rhinocéros et des outils taillés. "J'ai alors compris que nous étions en présence d'un site intéressant", se rappelle l'archéologue. L'année suivante, l'équipe repère des particules noires. Le résultat de l'analyse sera formel. Il s'agissait bien de charbon provenant d'un feu allumé par des humains. "J'ai alors commencé une intense activité de recherche qui a conduit à la mise au jour d'une aire de combustion bordée d'un emplacement où des humains avaient pratiqué plusieurs activités, dont la taille de la pierre, la fracturation des os pour en extraire la moelle et la découpe en filet de la viande. En dégageant de plus en plus le secteur, nous avons trouvé une concentration inespérée de foyers." Les chercheurs ont dégagé, entre autres, une couche de résidus de combustion d'une épaisseur d'environ 50 cm, qui remonte à 200 000 ans avant aujourd'hui. "Elle est unique au monde, souligne Serge Lebel. On supposait aussi que les foyers des Néandertaliens étaient de faible intensité. Or, nous savons que la température des feux que nous avons découverts a atteint entre 700oC et 800oC, ce qui suppose une meilleure maîtrise du feu que celle habituellement reconnue aux Néandertaliens. On ne sait pas s'ils produisaient eux-mêmes la flamme ou s'ils la transportaient avec un tisonnier alimenté par un feu naturel. Chose certaine, il s'agit de feux qui ont duré longtemps ou encore qui étaient répétitifs."

Laboratoire et stagiaires

Discussion au laboratoire avec les stagiaires (cours sur la faune découverte).

L'une des aires de combustion, plus récente celle-là, atteint 50 m2. Du jamais vu ! "Il n'y a pas d'aires de combustion équivalentes dans d'autres sites néandertaliens, explique Serge Lebel. Elle témoigne d'une agrégation humaine importante au Bau de l'Aubésier ainsi que d'une occupation intense de l'abri." Ces couches noires, comme les appelle l'archéologue, contiennent parfois des pièces archéologiques tellement bien conservées qu'on dirait qu'elles viennent tout juste d'être laissées sur place. "Nous allons d'ailleurs effectuer des études biochimiques pour analyser les résidus qui se trouvent sur les tranchants de certains outils", ajoute Serge Lebel. C'est aussi dans ces couches que les archéologues ont découverts des pièces osseuses minéralisées portant des marques. "Comme il n'y a pas de trace de carnivores dans les restes animaux trouvés dans les mêmes couches, souligne l'archéologue, ces marques ne peuvent pas leur être attribuées. Il y a donc de fortes chances qu'elles soient d'origine humaine."

Un choc culturel moins grand ?

Mais pourquoi les Néandertaliens fréquentaient-ils cet abri sous roche ? "L'eau est sans doute un facteur important, explique Serge Lebel. À l'époque, la Nesque, le grand ruisseau qui coule aujourd'hui sur une distance d'environ 10 km au fond de la gorge, devait être plus importante et s'écouler pendant toute l'année. Nous pensons aussi que cette région était une sorte de refuge pendant les périodes plus froides, notamment lors de la dernière glaciation." De l'abri, les Néandertaliens avaient aussi une vue plongeante sur la gorge. Ils pouvaient ainsi surveiller leurs proies, qui semblaient nombreuses et variées à l'époque. "Dans les vestiges, précise l'archéologue, on trouve les traces de presque une dizaine d'espèces animales selon les époques, de grands mammifères tels que l'aurochs, le cheval, le thar, le bouquetin, le chamois, le mégacéros et le rhinocéros des prairies."

Les couches archéologiques recèlent aussi des chaînes de fabrication d'outils. Le matériau, le silex, y est transporté pour fin de transformation en outils. On y trouve aussi des outils fabriqués ailleurs. "Il semble bien qu'il y avait une certaine permanence dans l'occupation du site. Les courbes de mortalité des animaux semblent indiquer, bien que cela reste à confirmer, qu'il y avait une saisonnalité dans l'activité de chasse, ce qui signifierait que ce site était occupé de façon saisonnière pour une période de chasse intensive. Cela présuppose aussi une organisation plus serrée des déplacements. Nous sommes loin de la bande de rustres nomades."

Trvail au marteau piqueur

Travail au marteau piqueur pour dégager les couches cimentées dans la séquence inférieure du remplissage.

Les recherches de l'équipe de Serge Lebel laissent donc de plus en plus croire que l'écart entre les Néandertaliens et les hommes modernes n'est pas aussi grand qu'on le pensait. "Si cette hypothèse se confirme, souligne Serge Lebel, les causes de la disparition des Néandertaliens seraient encore plus nébuleuses puisque, jusqu'ici, on l'attribuait, de façon hypothétique, à cet écart technologique et social entre eux et les hommes modernes."

Le Bau de l'Aubésier garde encore quelques secrets sous sa brèche et les fouilles se poursuivront l'été prochain. "Nous allons explorer le fond de l'abri sous roche, où nous avons trouvé des dents humaines et repéré un couloir l'an dernier, précise le chercheur. Il est possible que ce soit l'entrée d'une grande cavité. C'est aussi dans ce secteur que l'occupation humaine est plus dense. Si cela se confirme, nous pourrions y trouver des restes humains, puisque les Néandertaliens inhumaient leurs morts dans le fond des abris." Une telle découverte permettrait de cerner davantage leur comportement social, mais le travail ne s'arrêtera pas là. "Nous avons encore quelques bonnes saisons de fouilles devant nous. Il faut des années avant de bien saisir, de mieux comprendre un pareil site et ainsi mieux orienter les fouilles. Le meilleur est à venir !"

Une école de fouilles

Fouilles

Depuis une dizaine d'années, quelque 180 étudiants et apprentis fouilleurs du Canada et d'ailleurs ont eu l'occasion de s'agenouiller au site de Bau de l'Aubésier. En effet, le site fait l'objet de l'École de fouilles de l'UQAM qui accueille, chaque année, une vingtaine ou plus de stagiaires provenant de plusieurs universités canadiennes et dont au moins le tiers vient de l'UQAM. Les étudiants s'initient ainsi aux rudiments du travail sur le terrain. Les candidatures proviennent maintenant de partout dans le monde. L'an dernier, ils étaient plus de 200 à vouloir creuser au Bau de l'Aubésier !

Page couv., vol. 30, no 6, mars 1999

Ecrit sur l’ordinateur de Mimi que je lui ai emprunté.

Joyeuse non St-Valentin à tous !

Récupérer la fête des amoureux pour en faire du commerce à tout va, c'est niaiseux à souhait ! Et comment fait-on ce jour-là quand, évidemment, on n'a pas de partenaire, et qu'on en cherche encore moins, alors qu'on vous propose un tas de machins pour des couples ! On se retire dans un ermitage pour fuir l'affligeant spectacle de ces gens par paires complètement hypnotisés l'un par l'autre, et pour qui le monde n'existe plus, et c'est totalement consternant ! De toute façon, quand on aime, on n'a pas besoin d'un jour spécial pour ça !
Alors PITIE, arrêtez de nous infliger cette fête ridicule prétexte à tous les débordements financiers bien plus que sentimentaux... Et si on faisait une fête des non-amoureux, pour changer ?
J'ai décidé de fêter la non-St-Valentin !
Du coup, je préfère aller voir les copines à Toulouse, et je squatte actuellement chez Mimi et son amour de mère, au moins, on rigole bien, et on ne se perd pas dans des sentiments nombrilistes abêtissants et larmoyants ainsi que nauséeux à souhaits ! Et en plus, le temps est POURRI, et ils ne repassent plus Avatar en séance monoscopique, ce qui est une  vacherie pour les personnes borgnes ou malvoyantes ! C'est bien joli, le relief, mais quand on ne l'a pas, ça ne sert à rien !!! Alors, plutôt que de me choper la migraine, ben je m'en passe, pénible et frustrant ! Fuck Valentine's Day !!!

mardi 9 février 2010

images de pré-production d'Aô, le dernier Néanderthal.



On verra bien ce que ça donnera... A mon avis, dans les animaux qui existent encore, les kangourous sont de trop, il n'y en avait pas au Paléolothique en Europe... Enfin, moi, ce que j'en dis... Comme l'ours polaire... Dans le livre, Marc Klapcsynski, l'auteur d'Aô l'homme ancien et du Pouvoir d'Ik-Tia, tous deux parus aux éditions Obéron et qui sont superbement bien écrits, raconte que le clan d'Aô, parti loin vers le Nord pour fuir les autres hommes se retrouve confronté à un ours blanc, bien plus terrible que les mythiques ours des cavernes qu'ils affrontaient autrefois, quand ils étaient sur leur territoire ancestral... Ben oui, nos robustes bonshommes sont allés jusqu'en Sibérie, on en a la preuve, et comme la calotte glaciaire était plus étendue que maintenant, les ours polaires devaient descendre bien plus bas que de nos jours... Donc, pas si aberrant que ça, finalement... Mais ce shooting de kangourous n'a rien à faire là !    

lundi 8 février 2010

Pour mes catophiles préférées.

Complétement craquant, ce petit gif ! C'est Aude Baron qui nous avait orientés vers ça sur Twitter... Adorable !

Sébastien Chabal en peluche !

Quand on vous le dit, que cet homme est un nounours !!! Voilà une publicité pour les chaussures Puma, dans laquelle notre rugbyman d'enfer est encore la vedette incontestée par son physique avantageux et totalement wahou !!!
Et le plus fou, c'est que c'est lui-même qui a transféré ça à tous ses suiveurs de Twitter ! Quel humour ! Je me demande si la peluche sera en vente un jour... Ce serait très drùle ! J'ai déjà les chaussures, sans les crampons, toutefois ! Très marrant, en tout cas, et mignon !

©Puma.

   

samedi 6 février 2010

Sales gosses !!!!

Ce jour, j'ai décidé de faire des courses et d'aller manger une bonne entrecôte histoire de me refaire une santé... Bast, le restaurant était investi par des parents irresponsables et une bande de Huns entre trois et huit ans qui n'ont pas arrêté de mettre un tel bazar qu'ils ont manqué me déclencher une migraine ! Quand j'ai senti que je commençais à avoir un vilebrequin qui me perçait le crâne, j'ai heureusement trouvé un Ibuprofène 400 salvateur, et je l'ai pris... Mais j'ai mangé en quatrième vitesse et je n'ai même pas pris de dessert, chassée hors de l'endroit par ces morveux insupportables ! Il a mieux valu d'ailleurs que je parte rapidement, sinon le menu du restaurant aurait été agrémenté de viandes tendres, juteuses, goûtues et inattendus aussi !!!!
Du coup, moi qui voulais aller me revoir Avatar, j'irai demain, parce que là, j'ai quand même la tête lourde, malgré l'Ibuprofène ! Saloperies de morpions ! Pubs pour l'avortement ! Je vous hais, je vous maudis !!!! Et vos incapables et irresponsables de parents, encore plus ! Empêcheurs de vivre en rond ! Je te mettrais tout ça en pension, moi !!!!   

Canoë - Techno-Sciences - Découverte de trois dents d'homme de Neandertal

Encore des nouvelles de notre cher trapu velouté de la couenne au crâne aérodynamique ! Et que du bon, une fois de plus, bonheur. J'ai découvert cette petite merveille chez Internaaze, une fois de plus ! Notre brave bonhomme, dont on soupçonne qu'il est allé jusqu'en Sibérie est aussi passé par la Pologne. Les trois dents découvertes dont traite cet article appartenaient à trois individus morts entre 100 000 et 80 000 ans avant notre ère. L'un des fossiles a appartenu à un jeune homme mort à l'âge de vingt ans !
D'après les restes retrouvés, nos robustes préhistoriques se sont colletés avec des ours des cavernes dont les os portent des traces d'entailles, tout comme ceux d'autres animaux appartenant à la mégafaune du pléistocène.
Voilà qui prouve en plus que nos amis étaient des chasseurs émérites et redoutables, qui n'avaient pas peur de grand-chose !
Eu égard l'endroit où ont été retrouvées les trois dents, il semble fort qu'elles étaient les restes d'individus déposés là intentionnellement, visiblement pieusement enterrés par les leurs.
Eh oui, petit, trapu et costaud, mais sensible et respectueux de ses proches ! On est bien loin de l'image de la brutasse encore attachée à son pagne, à ce brave Néanderthal !
Face-à-face redoutable. Ce type de corrida-là, c'était vraiment du sport ! Pour se gagner son steak, à l'époque, il fallait VRAIMENT se remuer !!!
Illustration extraite du livret de jeux de rôles "Würm", © Emmanuel Roudier. 

Une visite touristique de Pandora.

© Twentieth Century Fox et James Cameron.
Trop beau !!!! Un vrai rêve, ça !!!! Du grand art et du pur bonheur ! Merci, Monsieur Cameron !

jeudi 4 février 2010

Techno Jeep, le makiing-of...


Il y a quelques temps, Internaaze m'avait fait découvrir un morceau de techno exclusivement fait des bruits d'une jeep... Et là, nous avons les explications en sus du morceau... Totalement génial !!!

Avatar : un film mortel !

Mimi et moi allons sur notre Pandora perso toutes les nuits ou presque... Que du bonheur !! Il y a d'aillleurs un commentaire très marrant dans cet article qui rejoint nos délires à Mimi et moi et le thème principal et préhistorique de ce blog totalement déjanté... Trop excellent !!!
Vo'hounâ, une charmante demoiselle de Néanderthal. © Emmanuel Roudier.
Neytiri, une charmante demoiselle Na'Vi, photo extraite de l'article vers lequel je renvoie, © James Cameron. 

Il paraît que des gens qui ont vu le film Avatar dépriment comme des bêtes, et que certains prenant conscience de la vacuité de ce monde et de leurs vies veulent se flinguer, ravagés qu'ils sont par la découverte de leur vacuité et de leur détresse intérieure ! Les pauvres !!! 
Eh bien ce n'est pas mon cas, et ça ne sera sûrement pas celui de Mimi, car tant elle que moi, nous avons notre Avatar à nous, notre délire préhistorico-science-fictionnel rien qu'à nous où nous nous retrouvons à titiller notre imaginaire quasiment toutes les nuits dans des rêves hauts en couleurs et largement aussi mouvementés que le film de James Cameron qui est sublime, mais oui !!! Bref, nous nous éclatons à moindre frais chaque nuit ou presque, et nous publierons cette saga un beau jour... 

2010/02/01 > BE Espagne 90 > Coquetteries de Néandertaliens

2010/02/01 > BE Espagne 90 > Coquetteries de Néandertaliens
 Image extraite du documentaire de la NGS "Neandertal Code".

Comme quoi, Néanderthal pouvait être trop mignon, lui aussi, non mais !!! Et comme dirait la pub : "C'est parce que je le vaux bien !".