dimanche 26 juillet 2009

Vacances !!!

Pendant 14 jours, environ, je suis hors Internet, mais pas hors du monde. Je vais aller prendre l'air pur dans mes Pyrénées natales, et ça ne me fera pas de mal, au contraire !

Donc, mes chers lecteurs, je vais vous laisser tranquilles à l'abri de mes délires pendant quelques temps, mais je vous embrasse très fort avant de vous quitter pour quelques salutaires et nécessaires congés.

A bientôt, les amis !   

Lettre ouverte à France 5

A propos du documentaire "Le vrai visage de Néandertal", diffusé encore à une heure indue !!!!

J'ai bien tenté de leur adresser une réclamation sur leur site, mais le formulaire insistait pour que je coche une case que j'avais cochée et je n'ai pu leur envoyer le formulaire et le message que j'ai eu la bonne idée de garder au chaud et dont voici la copie, non mais des fois !!! En espérant que la chose tombera sous les yeux d'une personne travaillant à France Télévisions !!!

Bonjour,

Passionnée de préhistoire, j'ai pu voir cette petite merveille de reportage (aussi passionnant que le Neandertal Code !!!) lors de sa première diffusion le 2 juillet en plein après-midi, parce que j'étais malade... Là, j'aurais voulu que ma meilleure amie qui travaillait puisse le voir, mais une fois de plus, les horaires de diffusion de ce très intéressant et sympathique documentaire étaient fort peu pratiques. Quid d'une diffusion de ce chouette reportage qui présente les Néandertaliens sous un jour sympa et positif, pour une fois, à des horaires et jours plus commodes, un samedi soir, par exemple, à 21h 30 ??? A croire que montrer l'Homme de Neandertal sous un jour avenant soit trop politiquement correct pour être diffusé largement et connu... Vous préférez faire passer vos ancêtres pour des brutes épaisses infréquentables ? Vous préférez l'image de l'homme des cavernes bête et méchant à celle d'un homme pleinement réalisé, sensible et intelligent ? Eh bien, c'est du racisme a posteriori, et ce n'est pas bien brillant !
Existe-t-il au moins un DVD de ce chouette reportage ou bien déciderez-vous de le mettre en ligne chez You Tube ou Dailymotion ?
Pour une fois que ce pauvre Néandertal était montré comme quelqu'un de chouette !!!
Tinky, passionnée de préhistoire et frustrée !!!!  

Qu'à cela ne tienne, j'écrirai sur le site principal, en expliquant pourquoi je n'ai pas pu envoyer ce putain de formulaire à qui de droit, en plus !!! Ca leur apprendra à programmer des documentaires passionnants à pas d'heure ou à des horaires tellement ridicules qu'on voit que le téléchargement illégal est finalement une BONNE CHOSE comme le dit si bien Internaaze, et pan ! Dans la gueule de HADOPI !!!  

 

jeudi 23 juillet 2009

I Feel Love - Donna Summer

Un des ancêtres de notre techno et électro actuelles, I feel love, de Giorgio Moroder, chanté par Donna Summer, grand moment de dance et de disco, de musique aussi, hypnotique et sublime par ses superbes harmonies, un des morceaux préférés de Mimi, que je lui dédie, d'ailleurs, tout comme à vous autres, lecteurs fidèles de ce blog où je peux parler d'autres choses que de Néanderthal, mais si, mais si !!

Inner City - Big Fun (1988)

Non !!!! Pas possible :??? Ca a plus de vingt ans, ce truc super génial que j'adore ??? Bon sang !!! Si je me retrouve un jour en maison de retraite, c'set pas du Jack Lantier ou du Tino Rossi qu'il faudra me passer, c'est sûr ! Je serais du genre à faire groover les centenaires, moi...

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Blue Man Group - Drumbone (Last Call Vegas)

Des types talentueux qui arrivent à faire de la musique géniale avec tout et n'importe quoi et que tant Mireille que moi adorons...

Mots clés Technorati : ,,

mercredi 15 juillet 2009

Mimi'z blog: Parler de mon amour des hyènes.

Mimi'z blog: Parler de mon amour des hyènes.

Mimi parle avec passion et érudition d'un animal victime comme mon cher Néanderthal, du délit de sale gueule et d'une sale réputation qui en découle simplement... Pauvres hyènes, créatures fascinantes s'il en est !!!

Marylène Patou-Mathis frappe encore !!!!

Le Devoir.Com

L'Entrevue - Sans viande, pas d'humanité

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Fabien Deglise
Édition du lundi 13 juillet 2009

Mots clés : Viande, Végétariens, Humanité, France (pays)

La préhistorienne Marylène Patou-Mathis est spécialiste du Néanderthal.

Coup dur pour les ayatollahs du tout végétal. En courant après des régimes alimentaires de plus en plus végétariens ou encore en sacralisant à outrance les animaux, au point de leur accorder plus de considération qu'à ses voisins d'en face, l'être humain serait sérieusement en train de faire fausse route. Une route «dangereuse» d'ailleurs, qui l'amènerait à rompre avec la dimension fondamentale de sa personne: son humanité, estime la préhistorienne française Marylène Patou-Mathis dans une étonnante brique qui retrace l'apport incontestable de la viande à... la grande aventure humaine.

Avec Mangeurs de viande. De la préhistoire à nos jours (Perrin), la spécialiste du Néanderthal, qui promène sa passion pour le Paléolithique moyen entre son bureau du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et celui du Muséum national d'histoire naturelle de Paris, n'y va pas par quatre chemins. «La consommation de viande a été le catalyseur de la séparation entre les grands singes, principalement végétariens frugivores, et les Australopithèques, les premiers hominidés, lance-t-elle à l'autre bout du fil. C'est donc par la viande que nous devenons des humains, puis des hommes sociétaux. Et il ne faut pas chercher à l'oublier.»
Dans la dernière décennie, les avancées technologiques, mises au service de la recherche préhistorique, ont d'ailleurs contribué à éviter l'amnésie. «Nous savions que les premiers hominidés consommaient des produits carnés, d'abord par l'entremise des insectes, puis par les petits animaux», poursuit Mme Patou-Mathis. Or pour la première fois, grâce aux analyses biogéochimiques d'os fossiles de Néanderthaliens et d'Hommes modernes, les spécialistes de la préhistoire, en sondant désormais certains isotopes dans l'ADN de ces restes humains, sont en mesure de quantifier cet apport. «Et les courbes de consommation de viande que nous obtenons sont énormes. On s'est rendu compte qu'elles étaient même identiques à celles du loup.»
Beau temps, mauvais temps, en période glaciaire -- où les végétaux se font plus rares -- et dans des moments plus tempérés, depuis près de trois millions d'années, l'homme -- et la femme par la même occasion -- mangent donc de la viande. Ce type de nourriture trouve d'ailleurs sa place dans un régime varié propre aux omnivores, régime qui avec le temps, forcément, s'est inscrit durablement dans le code génétique de l'Homo habilis, de l'Homo erectus et de leurs trillions de descendants.
Et pour cause. «La consommation de viande, avec son apport élevé de protéines, fournissant l'énergie indispensable au bon développement et au bon fonctionnement du cerveau, a favorisé l'innovation technologique et modifié les comportements», résume la préhistorienne, qui étudie le rapport entre hommes et animaux en ces temps que les moins de 250 000 ans ne peuvent pas... «La viande devient aussi une force de cohésion grâce à laquelle se soudent les communautés et se construisent les alliances.»
C'est un trait de caractère. Alors que l'herbivore conjugue son existence au temps de l'individualisme, le carnivore, lui, en quête quotidienne de chair à se mettre sous la dent, devient très vite social. Autour de la chasse, forcément, et des activités connexes. «C'est un moteur important à la construction de l'homme sociétal, dit-elle. La viande fait apparaître des structures: la coopération [pour trouver et abattre l'animal], le partage, la division du travail... En somme, elle outrepasse, plus que tout autre aliment, la fonction nutritionnelle.»
Retrouver l'animal en nous
Manifestation de l'inconscient collectif qui a façonné l'esprit humain dans l'espace et le temps, la consommation de viande et son préalable, la chasse, s'accompagnent donc d'un corollaire simple: sans elle, pas d'humanité. Et notre ère moderne semble un peu mal à l'aise avec cette réalité, déplore Mme Patou-Mathis.
«La course au progrès nous amène à rejeter de plus en plus notre nature animale et à rompre avec notre part de virilité, dit-elle. Nous voulons tellement nous affirmer comme des êtres de culture dont le bien-être, détaché de nos racines, ne peut être que technologique et matériel, que tout ça finit par aller contre nature.»
Traduction, selon elle, d'une «crise existentielle», d'un «mal-être» dans une époque en «phase de transition», ce refus de l'animalité -- et des morceaux de muscle grillés, braisés, bouillis, marinés qui viennent avec -- trouve son expression dans les appels au végétarisme portés par des groupes plus ou moins radicaux. Le courant animaliste, en ascension depuis quelques années autour des phoques, des oies gavées, des poulets industriels et autres bêtes d'élevages dont la souffrance est régulièrement dénoncée, vient également apporter de l'eau au moulin du malaise collectif.
«Nous sommes devant un grand paradoxe, lance la préhistorienne. Ces gens-là, en cherchant au nom d'un certain respect, à sacraliser la nature, finissent par nuire à cette même nature qu'ils ne reconnaissent plus comme telle. En fait, ils veulent faire de la nature un monde culturel. C'est dangereux. Ça va finir par nous rendre complètement schizophrènes et nous conduire à poser des gestes pathologiques.»
Alors que l'humanité, confrontée à des «moments difficiles» -- les dérèglements climatiques, la chute de la biodiversité, par exemple -- se cherche, c'est pourtant davantage d'équilibre dont l'humain semble aujourd'hui avoir besoin pour affronter la situation, plaide la scientifique. «Il faut raison garder, dit-elle, et il faut aussi renouer avec notre dimension naturelle, ancestrale, en mangeant de la viande.» De la viande, certes, mais dans des proportions adaptées à nos modes de vie urbains, souligne-t-elle, et que nos ancêtres néanderthaliens auraient certainement trouvées faméliques. «Pour qu'il y ait une cohérence, cette viande doit aussi trouver sa place dans la variété d'un régime omnivore, avec des fruits et des légumes. C'est une question d'équilibre. La démesure, dans un sens comme dans l'autre, n'est jamais bonne.»
Autre prescription pour aider l'homme moderne à se trouver, puisqu'«il ne sait plus où il habite», dit la préhistorienne: «Il faut désacraliser les animaux, accepter une bonne fois pour toutes leur différence et surtout le fait qu'ils ne sont pas humains», dit Mme Patou-Mathis.
«L'animal est un animal. Le reste est anthropomorphisme. Quand on cherche à leur donner plus de droits qu'aux hommes, on se perd»... et on confirme au passage ce que la préhistorienne vient de disséquer sur plus de 400 pages: pas de doute, depuis la nuit des temps, les «frères inférieurs», dixit l'historien Jules Michelet, les «frères d'en bas», pour Georges Clemenceau, ou les «enfants muets de la terre», comme disent les Orientaux, nous amènent sans relâche à mettre en question notre humanité.

Repris de l'article de "Le Devoir.com", un journal québécois.

© Le Devoir.com & Fabien Deglise.

Je parie n'importe quoi que les végétariens vouent aux gémonies cette pauvre dame !!! Et pourtant, elle a raison : sans viande, nous serions encore des cornichons accrochés aux dernières branches de l'arbre !!!!

mercredi 1 juillet 2009

Repose en paix, Michael !


Le meilleur clip de tous les temps... Dommage que ce pauvre Michael ait si mal fini... Terni par des accusations infâmes, ruiné par sa mégalomanie, plus ou moins mal vu par bien des gens que ses excentricités et ses idées étranges dérangeaient...
J'avoue que les accusations de pédophilie -crime suprême à mes yeux !- portées contre ce chanteur et danseur exceptionnel ont été la pire chose de ma vie. J'adorais Michael, et j'en étais tombée amoureuse alors qu'il chantait encore avec ses frères, j'avais 10 ans ! Quand Thriller est sorti, ça a été une révélation !!! Et dire que j'ai revendu tous ses disques et vidéos à cause des accusations portées contre lui et impardonnables à mes yeux ! Mais là, c'est Dieu qui le juge, et ses oeuvres demeureront pour un bon moment au pinacle de l'excellence et du talent. Même si tu n'étais pas parfait, Michael, tu étais un grand artiste, et c'est cela que j'aime encore en toi. Je regrette d'avoir vendu tes disques, mais j'ai moi-même été victime d'un pédophile, et ça, c'est une chose que je n'ai pas digérée... Je suis désolée, et j'espère que pour toi, il ne s'agissait que d'accusations sans preuves, toi qui ne voulais pas grandir et qui a été aussi victime que moi, et du même type de chose, en plus.
J'espère que tu reposes en paix, loin de toutes ces vicissitudes immondes, et je te prie de m'excuser d'avoir cru des choses qui n'étaient, je l'espère, du moins, peut-être pas vraies. Malgré tout, tu demeureras le plus charmant des zombies et des loups-garous de tous les temps !

J'aurais bien aimé être à la place de Naomi Campbell, moi...

Voilà comment j'aurais voulu apprendre la musique... J'adorais cette chanson !
La chanson qui m'a fait découvrir Michael, et tomber complètement amoureuse...

On voudrait pouvoir lui dire ça... Mais c'est trop tard ! Adieu, Michael !

Phoenix remixé par Sébastien Tellier...

Non, il n'est pas mort, même s'il a annulé ses concerts, et il bricole des trucs, notre Sébastien, dont ça ;
Phoenix - Long Distance Call (Sebastien Tellier Remix)
C'est joli. Régalez-vous les cages à miel, les petits ! Phoenix, j'aime bien, en plus, j'ai déjà entendu plusieurs choses d'eux qui grattent agréablement le tympan !!!