dimanche 9 mai 2010

Les années-lumière sur notre mélange avec néandertal sur Radio-Canada.

Le lien ci-dessus mène vers une émission radio PASSIONNANTE ! En cliquant dans le module vidéo en haut à droite de la page de Radio-Canada, et en sélectionnant l'émission "Les Années-Lumière" du 2 mai 2010, vous allez découvrir un entretien enthousiasmant sur les rencontres non moins enthousiasmantes entre Cro-Magnon et Néanderthal, et les conséquences inattendues et heureuses qu'elles ont pu avoir sur la population moderne de l'Eurasie ! Du pur bonheur, surtout avec les jolis accents des intervenants, accents qui me font voyager et un peu rêver, aussi. L'accent qu'a probablement Zed, l'aimable blogueuse Québécoise qui m'a transmis ce précieux lien... Régalez-vous !
Une reconstruction d'un Néanderthalien réalisée par MM. Dick Claesen et Ludo Vermeulen pour l'exposition itinérante "L'homme de Neandertal et les mammouths", que j'aimerais bien voir, ceci dit... Mais l'occasion ne s'est encore jamais trouvée ! Râlant, parce qu'ils sont bien faits, ces Néanderthaliens, des dessins d'Emmanuel Roudier ayant pris consistance ! Voir d'ailleurs ici le site de l'expo et les photos qui en sont tirées.   

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu sais, un gros doute en moi... Ces cheveux blancs alors qu'ils devaient rarement dépasser la vingtaine. Pas toi?

Faut que j'aille m'écouter ça en fin de semaine!

Merci Tinkyette! Que l'oiseau bleu ne t'entraine pas toujours dans son ni en derthal!

Zed xox ¦)

Tinkyfurax a dit…

Si si, l'espérance de vie de ces gens était égale à celle des gens du Moyen-Age, c'est à dire trente ans !
Les cheveux blancs de cet homme peuvent s'expliquer par une farce de l'hérédité, le stress de sa rude vie entraînant un vieillissement prématuré - on sait qu'ils étaient adultes à quinze ans - et peut-être aussi, tout simplement, le soleil et le froid, qui décolorent les cheveux prématurément. C'est d'ailleurs d'un Néanderthalien un peu âgé qu'il s'agit, là.
Un des rares qui a dû arriver à trente-cinq, quarante ans, il y en avait, eh oui, mais ils étaient rares, en effet.
Bises, ma Zed !